
Ni diabolique, ni céleste, mais… sans nom.
(…) Quelquefois, à midi, il n’y fait pas jour. Byron aurait écrit là sa Darkness. Rembrandt y aurait mis ses clairs-obscurs, ou, plutôt, il les y aurait trouvés. L’été, quand le jour est beau, les habitants s’en doutent peut-être en regardant la lucarne bleue qu’ils ont à mille pieds au-dessus de leurs têtes. Mais, ce jour-là, la lucarne n’avait pas de bleu. Elle était grise. Les nuages appesantis la fermaient comme un cercle de fer. La bouteille avait son bouchon. (…)
Jules Barbey d’Aurevilly, Une Histoire sans nom, 1882

Manziat, 1996

Manziat, 1996

Paris, 1996

Une Histoire sans nom publié aux Éditions Filigranes, Prix d'aide à l'édition aux Rencontres d'Arles 2002

Vérone, 1997

Villefranche-sur-Mer, rue Obscure, 2002

Paris, rue Daguerre, 2001

Cadaques, 2001

Une Histoire sans nom publié aux Éditions Filigranes, Prix d'aide à l'édition aux Rencontres d'Arles 2002

Fontainebleau, 2000

Paris, 1998

Biarritz, 2000

Une Histoire sans nom publié aux Éditions Filigranes, Prix d'aide à l'édition aux Rencontres d'Arles 2002